Numéro 15 - Pardon - janvier 2009

(c) iriv, Don & pardon, médaille (maison Arthus Bertrand), Paris, 2009

L'équipe des rives de l'iriv vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2009. Pour la première fois depuis le lancement de notre Lettre, en septembre 2004, notre ami Régis de Saint Rémy n'a pas pu rédiger sa rive spirituelle. Toutes nos pensées et notre affection l'accompagnent dans sa convalescence. Nous attendons avec impatience les rives de Mai pour que notre équipe soit à nouveau réunie.

Ce quinzième numéro des rives de l'iriv invite à approfondir la notion de pardon. La rive éditoriale se demande comment les victimes peuvent pardonner à leurs bourreaux. La rive académique montre l'importance du lien entre pardonneur et pardonné. La rive éthique invite à une réflexion sur le pardon des offenses. La rive et dérives évoque les limites du pardon. La rive de Bulgarie analyse les rapports complexes entre les élites bulgares et l'ancien régime communiste.

The iriv team wishes you all the best for 2009. For the first time since the launch of our newsletter, our friend and spiritual redactor  Régis de Saint Rémy was not able to write his spiritual rive. All of our kindness and thoughts are with him during his recovery. We await the May publication when our team will be reunited again.

This fifteenth edition looks at forgiveness. The editorial rive asks how victims can forgive their executioners. The academic rive shows the importance of the link between forgiver and forgiven. The ethical rive invites a reflection on the forgiveness of offenses. The rive et dérives evokes the limitations of forgiveness. The Bulgarian rive analyses the complex relationship between the Bulgarian elite and the old communist regime.

Rives

• rive éditoriale, Pardon et rédemption, par Bénédicte Halba
• rive académique, Don et pardon, par Eve-Marie Halba
• rive éthique, Pardon, fragilité et charité, par Luc Schneider
• rive et dérives, Pardonnable et impardonnable, par Madeleine Marchi
• rive de Bulgarie, Pardonner mais ne pas oublier, par Anna Krasteva